Narya Excubiæ Arcanorum
Messages : 168 Date d'inscription : 02/06/2011 Age : 26
| Sujet: rp Aria Dim 26 Juil - 3:43 | |
| ar lasa mala revas, mala suledin nadas
we are the Dalish: keepers of the lost lore, walkers of the lonely path we are the last of the Elvhenan, and never again shall we submit ❧ ➳ Solas ❦ Aria➳ Caras Rhenn, le Port Les Ténèbres - Lord Byron J’eus un rêve qui n’était pas tout-à-fait un rêve. L’astre brillant du jour était éteint ; les étoiles, désormais sans lumière, erraient à l’aventure dans les ténèbres de l’espace éternel ; et la terre refroidie roulait, obscure et noire, dans une atmosphère sans lune. Le matin venait et s’en allait, — venait sans ramener le jour : les hommes oublièrent leurs passions dans la terreur d’un pareil désastre ; et tous les cœurs glacés par l’égoïsme n’avaient d’ardeur que pour implorer le retour de la lumière. On vivait près du feu : — les trônes, les palais des rois couronnés, — les huttes, les habitations de tous les êtres animés, tout était brûlé pour devenir fanal. Les villes étaient consumées, et les hommes se rassemblaient autour de leurs demeures enflammées pour s’entre-regarder encore une fois. Heureux ceux qui habitaient sous l’œil des volcans, et qu’éclairait la torche du cratère ! Il n’y avait plus dans le monde qu’une attente terrible. Les forêts étaient incendiées ; — mais, d’heure en heure, elles tombaient et s’évanouissaient ...
« Mais tu n'as pas rencontré les démons de mon monde, sinon tu ne dirais pas ça. »
Les Ténèbres - Lord Byron J’eus un rêve qui n’était pas tout-à-fait un rêve. L’astre brillant du jour était éteint ; les étoiles, désormais sans lumière, erraient à l’aventure dans les ténèbres de l’espace éternel ; et la terre refroidie roulait, obscure et noire, dans une atmosphère sans lune. Le matin venait et s’en allait, — venait sans ramener le jour : les hommes oublièrent leurs passions dans la terreur d’un pareil désastre ; et tous les cœurs glacés par l’égoïsme n’avaient d’ardeur que pour implorer le retour de la lumière. On vivait près du feu : — les trônes, les palais des rois couronnés, — les huttes, les habitations de tous les êtres animés, tout était brûlé pour devenir fanal. Les villes étaient consumées, et les hommes se rassemblaient autour de leurs demeures enflammées pour s’entre-regarder encore une fois. Heureux ceux qui habitaient sous l’œil des volcans, et qu’éclairait la torche du cratère ! Il n’y avait plus dans le monde qu’une attente terrible. Les forêts étaient incendiées ; — mais, d’heure en heure, elles tombaient et s’évanouissaient ... | |
|